Les premières heures de la nouvelle année viennent déjà avec diverses infortunes pour certains compatriotes de la communauté béninoise. Cette année dans laquelle nous sommes rentrés il y a juste 3 jours, commence avec son lot d’accident, d’incendie et autres catastrophes naturelles.
Par : Chafick FAGBÉMI / www.boulevard-des-infos.com
Dès le mercredi 2 janvier 2019, soit 24 heures après le nouvel an, c’est le marché de friperie de Djougou, situé à quelques mètres de la base des sapeurs-pompiers, qui a été complètement ravagé par les flammes. Les soldats du feu appelés à la rescousse, n’ont rien pu faire face aux flammes dévastatrices qui ont consummé plusieurs hangars.
Les populations de la cité des Djarra ne s’étaient pas encore totalement remis de cette tragédie, quand on leur annonçait quelques kilomètres plus loin, et plus précisément dans le deuxième arrondissement de Djougou, l’effondrement d’une mine de sable sur des ouvriers qui travaillaient à l’intérieur afin de gagner leur pitance journalière. Contrairement au drame du marché, qui n’a pas enregistré de perte en vie humaine, l’effondrement de la mine de sable à fait un mort.
À Parakou, dans la même journée du mercredi 2 janvier 2019, c’est un accident de circulation qui a fait deux victimes, tous des motocyclistes, et dont une (la victime) est grièvement blessé. Selon les témoins, l’accident s’est produit devant l’hôpital d’instruction des armées de Parakou, alors que le conducteur du véhicule incriminé, roulait à contre sens (sens interdit).
Rappelons que quelques heures plus tôt, dans la nuit du lundi 31 décembre 2018 au mardi 1er Janvier 2019, un camion transportant des produits inflammables, avait pris feu devant le commissariat de Dja-Owodé, situé à la frontière Bénino-nigerianne et plus précisément dans l’arrondissement de Tohouè. Dans sa furie, le feu a décimé tous les bureaux du commissariat de cette localité, y compris les documents, les armes, les véhicules en fourrière, les moyens de déplacement du personnel, etc…