La commune de Houéyogbé à été classée 68è sur les 77 communes du Bénin, pour sa gestion des fonds Fadec 2018. Ceci est un résultat qui ne s’éloigne pas de la gestion des années précédentes. Cette situation constitue une véritable honte et offusque Christophe D. AGBODJI qui appelle à un sursaut citoyen afin de corriger le tir.
Par : Chafick FAGBÉMI
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Il n’y a véritablement pas de quoi être fier quand on scrute les rapports de gestion de l’équipe sortante à la tête de la Commune de Houéyogbé. Ce n’est, d’ailleurs pas la seule fois. Les rapports d’audits effectués tous les 4 dernières années sont unanimes et font état de : mauvaise gestion des ressources humaines, surfacturation des projets, immobilisme dans la mobilisation des ressources locales, la dilapidation des ressources de la Commune, l’opacité dans la gestion des ressources et le non-respect des principes de l’orthodoxie. En d’autres termes, la Commune de Houéyogbé présente un énorme retard par rapport aux autres communes du département. “Il s’agit d’une situation honteuse“, a confessé Christophe D. AGBODJI qui ne cache pas les ambitions de l’Union Progressiste pour redorer le blason de la Commune.
Dans un récent message adressé aux autres candidats inscrits sur la liste de l’Union Progressiste, le candidat Christophe D. AGBODJI, considère que “les populations attendent énormément des prochains élus locaux. Il convient de changer la donne et de confier la mission à de jeunes ambassadeurs ambitieux“, a déclaré le jeune candidat aux élections communales.
Il est temps de sauver Houéyogbé !
” Nous sommes coincés ; plus possible de faire demi-tour ; nous devons affronter la vérité et prendre la décision de nous relever“, propose Christophe D. AGBODJI qui invite les électeurs à plébisciter les candidats UP afin de rendre possible cette révolution. Le succès du projet dépendra du choix des élus, à entendre le candidat. Face à ce tableau noir, il est important que les filles et fils de Houéyogbé se battent pour résoudre les mille et une difficultés qui se dressent contre le développement de la Commune. “La première étape consistera à balayer l’équipe actuelle dont le bilan ne peut être fait qu’en deux mots : médiocrité et méchanceté“, a martelé Christophe D. AGBODJI avant de conclure qu’ “il n’en faut pas plus, pour prendre la décision de voter UP, le dimanche 17 prochain.”
Convaincu que la révolution est possible, Chistophe D. AGBODJI invite les populations de Houéyogbé et surtout sa jeunesse à prendre ses responsabilités.